Depuis la sévère défaite infligée par des séparatistes touareg et des djihadistes à l’armée malienne et aux combattants du groupe Wagner à Tinzaouaten, une localité au nord du Mali, la probable implication des services secrets ukrainiens dans cette attaque, a amené Bamako à rompre ses liens diplomatiques avec l’Ukraine.

Le Niger, allié du Mali et également proche de la Russie, vient d’en faire de même, et le Kremlin accuse officiellement Kiev d’ouvrir un « deuxième front » en Afrique et de « soutenir des groupes terroristes dans des Etats du continent favorables à Moscou »…

Une guerre par procuration entre Kiev et Moscou en Afrique ? (msn.com)