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A quelques jours du scrutin, certains voient ces élections comme un avant-goût de la Présidentielle de 2024, pour laquelle l'opposition espère imposer une cohabitation au président Macky Sall et le décourager de se représenter.

Les Sénégalais s'apprêtent à désigner leurs nouveaux députés dimanche. À quelques jours du scrutin, certains d'entre eux voient ces élections comme un avant-goût de la présidentielle de 2024, pour laquelle l'opposition espère imposer une cohabitation au président Macky Sall et le décourager de se représenter.

En tant que citoyen sénégalais, ce que nous attendons, c'est une Assemblée de rupture, une Assemblée nationale qui joue pleinement son rôle de contrôle du gouvernement", affirme Cheick Talibouya Ndiaye.

"Le Sénégalais est obligé de faire face et de donner son point de vue à l'histoire. L'histoire, c'est quoi ? C'est aujourd'hui de prôner le changement, le changement par rapport à l'Assemblée nationale. Il nous faut aujourd'hui une cohabitation et cette cohabitation permettra à l'exécutif de travailler en symbiose avec l'opposition pour que le Sénégal puisse avancer", continue Souleymane Traoré.

Tout comme Ousmane Sonko, plusieurs figures de l'opposition ont du renoncer à se présenter aux élections pour invalidation de leur liste. Ils accusent le président d'avoir tenté d'écarter ses adversaires.

"On voit que le président Macky Sall cherche à écarter tous ses potentiels opposants donc, on craint que s'il a la majorité à l'Assemblée nationale, il tentera de faire un troisième mandat. Les Sénégalais ne sont pas dupes, ils le savent", avance Mamy Diallo.

"Il faut que cette nouvelle Assemblée fasse des réformes constitutionnelles", ajoute Sibérou Diakahaté. "Il y a des débats que les députés doivent définitivement trancher. La question sur la limitation des mandats au Sénégal doit être élucidée, la question de la violence qui sévit au sein du milieu politique doit aussi être traitée et également, il faut que les députés assurent l'indépendance de la population pour qu'elle puisse avoir l'autorisation de faire des manifestations sans aucune entrave."

La campagne électorale s'achèvera vendredi soir, après 21 jours de rassemblements et meetings. Dimanche, 7 millions d'électeurs sont attendus dans les bureaux de vote. (euronews)

Trente opposants arrêtés durant la présidentielle d’avril 2021 au Bénin, ont été remis en liberté mercredi.

Cette décision de la justice béninoise intervient alors que le président français Emmanuel Macron était en visite dans le pays.

Le président béninois Patrice Talon a rejeté le même jour les critiques selon lesquelles son gouvernement détenait des prisonniers politiques :"Au Bénin, il n'y a pas de détenus politiques. Personne ne détonne au Bénin pour son opinion politique, mais les gens sont détenus pour avoir agi, pour avoir commis des délits, des crimes dans le champ politique, c'est vrai. Donc il se pourrait que dans les temps à avenir en mon temps ou après moi que des actes de grâce ou d'amnistie soit pris à l'encontre de ces gens-là, c'est possible." a-t-il déclaré. 

Parmi les personnes libérées figurent des responsables et de jeunes militants du parti d'opposition les Démocrates.

Les trente opposants ont été placé sous contrôle judiciaire.

La cheffe de l’opposition béninoise Reckya Madougou et le constitutionnaliste Joël Aïvo arrêtés il y a huit mois, ont été condamnés respectivement à 20 et 10 ans de prison.

Tous deux ont été jugés par un tribunal spécial chargé du terrorisme et des crimes économiques appelé CRIET. Les critiques disent que ce tribunal, créé par le gouvernement de Talon en 2016, a été utilisé pour réprimer ses opposants.

Moins d'une semaine avant l'élection d'avril, un juge de la CRIET a fui le Bénin en dénonçant des pressions politiques pour rendre des décisions, notamment dans le cas de l'arrestation de Madougou. (euronews)

Le Groupe de soutien à l'Islam et aux musulmans (GSIM), affirme officiellement qu'une stratégie est mise en place pour frapper le pouvoir central à Bamako.L'attaque de la ville garnison de Kati, vendredi 22 juillet, n'a pas suffi au GSIM pour manifester son intérêt pour la capitale du Mali.  Moins d'une semaine après cette offensive complexe dans laquelle un militaire a perdu la vie, selon le communiqué de l'Etat-major général des Armées maliennes, la fédération d'organisations jihadistes liés à Al Qaïda au Maghreb Islamique (AQMI) exprime ouvertement ses intentions pour Bamako. Dans une nouvelle vidéo de 4 minutes 50 secondes datée du mercredi 27 juillet, visionnée par APA, Mahmoud Barry, membre du Conseil consultatif du groupe jihadiste dirigé par le Touareg Iyad Ag Ghali déclare qu'une stratégie a été mise en place pour encercler le pouvoir central à Bamako, incarné par le président de la transition Assimi Goïta. « Il y aura des attaques régulières jusqu'à l'application de la Charia », menace Abou Yahya, qui s'exprime en bambara, langue qu'il maîtrise bien pour avoir séjourné à Bamako en tant qu'Imam. « Les Maliens doivent savoir qu'ils n'ont d'autre choix que de retourner à Allah. Tout cela ne se terminera que lorsque tout le monde aura accepté la Charia (la loi islamique) », insiste le jihadiste. « Cette allusion à Bamako est une première pour ce groupe », reconnaît une source sécuritaire, invitant les autorités maliennes à « prendre au sérieux le GSIM ». « Ils ont les capacités de faire un blocus sur Bamako car ils s'y préparent depuis 2018-2019 », ajoute notre source. Pour Bah Traoré, analyste politique et sécuritaire au Sahel, « Bamako ne sera pas un morceau facile » pour le groupe jihadiste. « Par contre, ils peuvent davantage détériorer la situation sécuritaire et installer la psychose au sein de la population », concède-t-il. Pourtant, le groupe jihadiste semble vouloir épargner les civils. Mais cela n'est pas sans condition. Une vidéo à l'endroit à Bamako Dans son intervention, Mahmoud Barry, dont la dernière sortie remonte au mois d'avril 2022, après la triple attaque du GSIM à Sévaré, Bapho et Niono, dans le centre du pays, demande aux civils de ne pas soutenir leurs dirigeants, précisant que « les opérations visent les infidèles, leurs alliés et leurs proches ». Plusieurs observateurs de la crise sécuritaire qui secoue le Mali depuis 2012, relient cette nouvelle stratégie du GSIM aux opérations de ces derniers mois de l'armée malienne et de la controversée compagnie militaire privée russe, Wagner, dans le centre du pays, pour reprendre l'initiative après le repli de l'opération Barkhane sur fond de crise diplomatique entre Paris et les autorités de la transition malienne. En effet, du 27 au 31 mars 2022, les FAMa ont affirmé avoir neutralisé 203 jihadistes à Moura, un village du cercle de Djenné, dans la région de Mopti, à 545 kilomètres à l'est de Bamako. Des organisations de défense de droits de l'homme ont demandé à ce que la lumière soit faite sur des allégations de meurtres de civils par l'armée. Pour en rajouter une couche, Amadou Kouffa, chef de la Katiba du Macina a remis en cause la version officielle, accusant les autorités maliennes d'avoir ordonné le « massacre de civils » dans ce village, où selon sa thèse, n'étaient présents que trente jihadistes. (Journal du Mali)

Lors de sa visite au Bénin, le président français Emmanuel Macron a multiplié les critiques envers la Russie, accusant notamment le pays d’être « l’une des dernières puissances impériales coloniales ».

Lors de sa visite au Bénin, le président français Emmanuel Macron a multiplié les critiques envers la Russie, accusant notamment le pays d’être "l’une des dernières puissances impériales coloniales".

Alors que le ministre des affaires étrangères russe, Sergueï Lavrov est également en tournée en Afrique, le chef d’état français a cherché à mettre en garde les capitales africaines contre la guerre qu’il a qualifié d’hybride menée par la Russie dans le monde.

"Pour le continent africain, la Russie a commencé, au fond, un nouveau type de guerre mondiale hybride. C'est ça la réalité. Et elle a décidé que l'information, l'énergie et l'alimentation étaient des instruments militaires mis au service d'une guerre impérialiste continentale contre l'Ukraine, voilà comment je vais qualifier dans les termes les plus crus, ce qui se passe aujourd'hui."

Cinq mois après le début de la guerre en Ukraine, le président français ne cesse de hausser le ton contre la politique de Vladimir Poutine.

Il a dénoncé la veille "l'hypocrisie", entendue "en particulier sur le continent africain", faisant référence au fait que plusieurs dirigeants du continent dont le président camerounais Paul Biya, ne condamnent pas officiellement l’intervention russe.

"La Russie est l'une des dernières puissances impériales coloniales, elle décide d'envahir un pays voisin pour y défendre ses intérêts, c'est ça la réalité. Quand vous les voyez poindre leur tête chez vous n'y voyez pas autre chose même s'ils vous tiennent le discours inverse."

Le président français a également promu sa nouvelle vision des relations entre la France et l'Afrique, en présentant le Bénin comme l'un des pays tests de cette volonté d'établir un "partenariat gagnant-gagnant". Il a ainsi rencontré des athlètes et des lauréats du programme Volontariat Paris 2024 au Bénin : "Ce que nous faisons, c'est un vrai modèle de partenariat réciproque, équilibré, dans lequel nous donnons la possibilité à la jeunesse béninoise avec une volonté d'avoir un ancora régional. Et cette vocation régionale de votre projet est clé pour nous, parce que nous voulons pouvoir vous aider à former tous les jeunes de la région et nous voulons aussi pouvoir attirer tous nos partenaires européens, en disant que c'est ici que ça se passe si vous choisissez de le faire au Bénin." a déclaré le président français. 

Le président béninois Patrice Talon s’est félicité des relations avec Paris, qu’il a décrit comme étant "décomplexées et débarrassées de pesanteurs du passé ".

Critiqué pour avoir choisi de visiter le Cameroun, dirigé depuis quarante ans par le président Biya, et le Bénin, accusé de dérives autoritaires, Emmanuel Macron est resté silencieux sur la question des droits humains et la défense de la démocratie.

Durant sa visite, la justice béninoise a toutefois ordonné la remise en liberté de **30 opposants arrêtés pendant la présidentielle d'avril 2021 qui avait été émaillé de violences.

L’embellie des relations entre les deux pays est principalement liée à la restitution au Bénin par la France de 26 œuvres des trésors royaux d'Abomey (sud), capitale du Royaume du Dahomey, qui avaient été pillées en 1892 par les troupes coloniales françaises. (euronews)

« Je demande pardon au peuple burkinabé pour tous les actes que j’ai pu commettre durant mon magistère, plus particulièrement à la famille de mon frère et ami Thomas Isidore Sankara », écrit l’ancien président Blaise Compaoré dans une lettre adressée au chef de la junte militaire le Lieutenant-Colonel Paul Henri Sandaogo Damiba. Un courrier que Blaise Compaoré a fait transmettre par une délégation ivoirienne.

De quels actes parle précisément Blaise Compaoré, le courrier est muet la dessus. Mais l’évocation de Thomas Sankara est un indicateur important. Pour la première fois, Compaoré assume la mort de l’ancien président du Faso, tué le 15 octobre 1987. Blaise Compaoré, jugé et condamné à la prison à perpétuité, espère ne pas subir la rigueur de la Loi.

 « J’assume et déplore, du fond du cœur, toutes les souffrances et drames vécus par toutes les victimes durant mes mandats à la tête du pays et demande à leurs familles de m’accorder leur pardon », reconnait Blaise Compaoré. S’il sollicite le pardon des parents de Sankara et d’autres Burkinabè qui ont souffert de son long règne de 27 ans, ce que Compaoré sait ce qu’il l’attend lors de son retour au Burkina. 

« Blaise Compaoré envoie un courrier et demande pardon alors qu’il était là il y a quelques semaines. Pourquoi n’a-t-il pas fait lire cette lettre ? », a réagi Luc Damiba, le secrétaire général du Comité international du mémorial Thomas Sankara, cité par la presse burkinabè. « C’est une forme de diversion et de division qu’il sème dans l’esprit des gens », dit Luc Damiba. (AfrikMag)

L’Union européenne demande au Tchad de fixer des accords concluants avec les politico-militaires avant le versement de la somme de 100 millions d’euros pour accompagner la transition.

  En novembre 2022, une délégation tchadienne conduite par le Premier ministre, Pahimi Padacké Albert  a rencontré des responsables de l’Union européenne à Bruxelles au sujet de la transition au Tchad. Ainsi l’UE a décidé d’allouer 100 millions de FCFA pour l’organisation du dialogue national inclusif, la participation des politico-militaires et des corporations sociales du Tchad entre autres. A l’issue d’une conférence de presse du 26 juillet 2022, l’ambassadeur de l’Union européenne, Kurt Cornelis a fait savoir que : « la première tranche de 6 millions d’euros vient d’être décaissée ». Il indique également que les autres tranches seront versées en fonction de l’évolution des préparatifs du dialogue national inclusif prévu le 20 août 2022. La première tranche a été décaissé parce qu’elle a respecté les phases de l’accord. La prochaine étape est l’organisation du dialogue avec les mouvements armés et les autres corporations. Le retour à l’ordre constitutionnel l’organisation des élections transparentes, la sécurité et le développement humain. L’UE menace de suspendre son appui en cas de non-respect de ces engagements. Ça concerne également l’appui à la crise alimentaire dont plus de 37 millions d’euros d’aide ont été déjà été alloués au Tchad. (Journal du Tchad)

L’accord a été signé ce mercredi 27 juillet 2022, à Jeddah au siège de l’institution. Le Tchad est désormais membre de l'Organisation Islamique pour la Sécurité Alimentaire (OISA).

L’ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire du Tchad auprès du royaume d’Arabie Saoudite S.E.M. Zakaria Fadoul Kittir, par ailleurs représentant permanent auprès de l’Organisation de la Coopération Islamique a opposé sa signature pour le compte du Tchad, à Jeddah au siège de ladite Organisation, le Statut de membre de l'Organisation Islamique pour la Sécurité Alimentaire (OISA). Cet événement a eu lieu en présence de S.E. l’Amb Hissein Brahim Taha, Secrétaire Général de l’OCI.

Le siège de l'Organisation Islamique pour la Sécurité Alimentaire est basé en République de Kazakhstan. Cette organisation est une branche spécialisée de l'Organisation de la Coopération Islamique qui a pour objectifs :

-Résoudre les problèmes de fourniture de nourriture économiquement plus abordable à la population des pays islamiques, en fonction de leurs conditions naturelles et climatiques et de leur situation géographique ;

-Créer les itinéraires de transport et de logistique les plus avantageux pour réduire au minimum le coût des approvisionnements en nourriture pour les pays membres de l’OCI ;

-Stabiliser les prix des denrées alimentaires par la création et la gestion de fonds communs pour l’alimentation.

L'OISA mettra également en œuvre des programmes humanitaires sur la base des demandes pertinentes du Secrétariat général de l'OCI. (Journal du Tchad)

Ike Ngouoni Aila Oyouomi a été condamné, le mardi 26 juillet, à huit ans de réclusion pour détournement de fonds publics. L’ancien porte-parole du président Ali Bongo Ondimba avait été arrêté en 2019 dans le cadre d’une opération anti-corruption, qui a également touché l’ex-ministre Brice Laccruche Alihanga.

La Cour criminelle spéciale a condamné, le mardi 26 juillet, Ike Ngouoni Aila Oyouomi à huit ans de prison ferme pour détournement de fonds publics. L’ancien porte-parole de la présidence a été reconnu coupable de faits s’étant déroulés entre 2017 et 2019 et écope également d’une amende de 50 millions de francs CFA, ainsi que d’une autre de 5 milliards, au titre de dommages et intérêts, à verser à l’État gabonais.

Ike Ngouoni Oyouomi avait été arrêté en 2019 dans le cadre de l’opération anti-corruption qui avait également abouti à l’incarcération de Brice Laccruche Alihanga, ancien directeur de cabinet du président Ali Bongo Ondimba, et de plusieurs hauts fonctionnaires de l’administration gabonaise. Tous avaient été accusés de détournement ou de complicité de détournement de fonds publics. Le procès de Brice Laccruche Alihanga, l’accusé le plus emblématique, n’a pas encore eu lieu.

Une décision qui « ne rend pas compte de la réalité des faits »

Le procureur avait requis une peine de quinze années de réclusion à l’encontre d’Ike Ngouoni Aila Oyouomi. Il avait aussi sollicité une condamnation à dix années de prison (dont cinq années de sursis) pour Sandy Ntsame Obame, l’ancienne assistante du porte-parole, jugée en même temps que ce dernier. Celle-ci a été condamnée à cinq années d’emprisonnement avec sursis et retrouve donc la liberté.

Ike Ngouoni Aila Oyouomi, qui a déjà passé trois ans derrière les barreaux, doit quant à lui encore s’acquitter de cinq ans de réclusion. Une décision « qui ne rend pas compte de la réalité des faits », a dénoncé à la fin du procès son avocat, Me Anges Kévin Nzigou.

Ce dernier a cherché à convaincre le tribunal que les fonds prétendument détournés n’étaient pas publics mais avaient été mis à disposition du cabinet du chef de l’État pour les activités politiques – et donc privées – d’Ali Bongo Ondimba. En vain. Il devrait toutefois présenter une plaidoirie similaire lors du prochain procès de son autre client, Brice Laccruche Alihanga. (Jeune Afrique)

Dans un communiqué publié par le ministère des Affaires Etrangères et de la Coopération internationale, le gouvernement expulse le porte-parole de la Mission onusienne au Mali, Olivier Salgado, à quitter le territoire malien dans un délai de 72 heures.

Communiqué 

Le ministère des Affaires Etrangères et de la Coopération internationale informe l'opinion nationale et internationale que ce ce jour, mercredi 20 juillet 2022, Madame Daniela Kroslak, Représentant spéciale adjointe général des Nations Unies au Mali invitant Monsieur Olivier Salgado, porte-parole de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la Stabilisation au Mali (MINUSMA) à quitter le territoire national dans un délai de 72 heures.

Cette mesure fait suite à la série de publication tendancieuses et inacceptables de l'intéressé sur le réseau social Twitter déclarant, sans aucune preuve, que les autorités maliennes auraient été préalablement informées de l'arrivée des 49 militaires ivoiriens par vol civil, à l'aéroport international président Modibo Keita,le dimanche 10 juillet 2022.

En plus, la demande officielle a lui adressée à travers sa hiérarchie depuis le 12 juillet 2022 de fournir la preuve des affirmations contenues dans son tweet, ou au cas contraire, de porter la rectification nécessaire, dans la même forme est restée sans suite.

Le ministère ne saurait passer sous silence ces agissements qui atteinte au partenariat avec la MINUSMA et d'autres partenaires.

Le ministère des Affaires Etrangères et de la Coopération internationale réitère sa disposition constante à maintenir le dialogue à poursuivre la coopération avec ensemble de ses partenaires internationaux, y compris la Minusma, dans un esprit de solidarité, de complémentarité et de respect mutuel. (Abidjan.net)

Les travaux de la 14e édition du Sommet des affaires USA- Afrique ont démarré, mercredi à Marrakech, autour du thème «Construire ensemble l'avenir». Placé sous le haut patronage du roi Mohammed VI, ce Sommet qui se poursuivra jusqu’au 22 juillet, à l’initiative du Corporate Council on Africa (CCA), connait la participation notamment, d’une importante délégation gouvernementale américaine, des ministres africains et des décideurs des plus grandes multinationales américaines et des milieux d’affaires africains.

Offrant l’occasion d’établir des partenariats d’affaires tripartites USA-Maroc-Afrique orientés vers l’avenir, ce Sommet représente aussi une opportunité de consolider le positionnement stratégique du Maroc, seul pays africain ayant conclu un accord de libre-échange avec les Etats-Unis, en tant que hub pour l’Afrique et partenaire économique de référence pour les USA.

Ce conclave sera marqué par l'organisation de dialogues de haut niveau, de sessions plénières, de panels, de tables rondes et de side-events autour des priorités du Continent en matière de sécurité alimentaire, de santé, d'agriculture, de transition énergétique, de nouvelles technologies, d'infrastructures et d'intégration des écosystèmes industriels. (Yabiladi)

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