Déjà poursuivie dans le dossier dit des « biens mal acquis », Pascaline Bongo, fille aînée du défunt président gabonais, Omar Bongo, et sœur du président déchu, Ali Bongo, est encore appelée à s’expliquer devant la Justice française. Son procès s’est ouvert le 29 janvier dernier devant le tribunal correctionnel de Paris où elle comparaît pour des soupçons de corruption « passive d’agent public étranger ».

L’affaire remonte à 2010 et 2011 où l’ancienne Directrice de cabinet de son président de père, devenue collaboratrice de son frère qui a succédé à leur géniteur à la tête de l’Etat dans les conditions que l’on sait, est soupçonnée d’avoir joué les facilitatrices dans l’attribution d’un marché public au Gabon à une société française contre la promesse de huit millions d’euros. Bien entendu, l’intéressée s’en défend. Et entre « problèmes de prescription, de compétence ou encore de qualification » des faits, son conseil n’est pas loin de dénoncer un acharnement contre sa cliente.

Laquelle n’est pas seule à comparaître à la barre puisqu’en plus de l’entreprise française en question, d’autres prévenus dont deux ex-cadres de ladite entreprise française ainsi qu’un autre toujours en fonction, font aussi partie des accusés…

PROCES DE PASCALINE BONGO EN FRANCE POUR CORRUPTION PASSIVE : La famille Bongo rattrapée par son passé (msn.com)

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