Tandis que se multiplient les coups d’État et les chocs géopolitiques, économiques et sociaux alimentant le désir de certains Africains de rompre avec la France, l’avocat Jemal Taleb invite ces derniers à la plus grande prudence. Le problème avec le vent, c’est qu’il est souvent « fripon », comme le définissait Georges Brassens. Et quand il souffle, on ne sait pas d’où il vient, encore moins où il va. Serait-ce le cas avec celui qui balaie depuis une décennie les pays africains, notamment ceux du G5 Sahel, à l’exception de la Mauritanie ? Est-il à la fois vent de renaissance et vent de panique ?…
Au G5 Sahel, comme un vent de renaissance… et de panique (msn.com)