Le groupe français avait déjà perdu le contrôle opérationnel de sa seconde mine à la fin de 2024, dans un contexte de tensions diplomatiques entre Paris et Niamey. Selon le gouvernement nigérien, les détenteurs d’actions bénéficieront d’une « indemnité » de compensation.

C’est une lutte acharnée pour la question de l’exploitation de l’uranium que les arbitrages internationaux n’ont pour l’instant pas su faire cesser. Orano, plus grand opérateur minier du Niger avant le coup d’État qui a mené le général Abdourahamane Tiani au pouvoir, perd le contrôle de sa filiale nigérienne Somaïr, dont les autorités ont annoncé la nationalisation jeudi 19 juin…

Uranium : le Niger tourne la page Orano en nationalisant la Somaïr