Il s’ouvre au siège de l’organisation ce samedi 5 mai. Il y a trois mois, plusieurs ambassades appelaient leurs ressortissants à quitter l’Éthiopie, craignant que les rebelles du Tigré ne s’emparent de la capitale éthiopienne. Ces derniers jours,les délégations africaines y affluent au contraire pour ce sommet.

Il y a sera bien sûr question de cette série de coups d’État récemment observée sur le continent. Depuis le dernier sommet, pas moins de quatre pays ont été suspendus de l’Union africaine :la Guinée, le Mali, le Burkina Faso et le Soudan.

Le Tchad en revanche a été épargné, quand bien même un conseil militaire dirigé par le fils de l’ex-président Déby gouverne le pays depuis son décès.

Ce qui suscite certaines critiques sur une réponse jugée « incohérente » de l’UA face aux transitions anti-constitutionnelles.

La gestion des crises politiques sera donc au coeur des discussion de ce 35e sommet… suite de l’article sur RFI

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