L’enregistrement des candidatures devait s’achever le 31 mai dernier, mais la direction générale des affaires électorales a accordé encore quelques jours aux retardataires.

Certaines formations politiques de l’opposition ont décidé de boycotter ces élections pour protester contre les conditions de leur organisation. C’est le cas de l’Alliance pour la République et la démocratie (ARD, opposition) de Mathias Dzon, ancien ministre des finances (1997-2002) et la Fédération de l’opposition congolaise de Clément Miérassa. Ils estiment que l’élection est jouée d’avance.

Le Parti congolais du travail (PCT) du président Denis Sassou Nguesso, le PCT qui compte 92 députés sur 151 dans l’assemblée sortante a pour sa part déjà investi l’essentiel de ses candidats.

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L’Union panafricaine pour la démocratie sociale (UPADS), unique parti d’opposition disposant d’un groupe parlementaire dans la chambre basse du parlement, entend également prendre part aux scrutins.

L’Union des démocrates humanistes (UDH-Yuki, opposition) participera aussi au scrutin. Une participation en dépit des dissensions internes depuis la disparition de Guy-Brice Parfait Kolélas le leader du parti en 2021.

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Le parti d’opposition, La Chaîne, de Joseph Kignoumbi Kia Mboungou qui est arrivé quatrième lors de l’élection présidentielle de mars 2021 ira aux élections. Cliquez sur la photo ci-dessus pour écouter ses explications. (dw.com)

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